jeudi 18 février 2010

Ombre niçoise

Nice, juillet 2007

mercredi 17 février 2010

Cinéma, Cinémas (8)

Los Angeles, mars 1984/novembre 2008

Alors que la vraie Marilyn se repose pour toujours au Westwood Memorial Cemetery, des copies pas tout à fait conformes arpentent chaque jour Hollywood Boulevard pour l'amusement des touristes. Comme je l'avais dit ailleurs, celle de ce jour-là arborait la robe sexy de "Sept ans de réflexion", mais elle avait dans les yeux quelque chose d'un peu fragile et perdu, d'un peu "Misfits".

mardi 16 février 2010

Rêve bleu

Lyon, mardi 16 février 2010, 10h58

Souvent des photos anciennes, gardées en mémoire ou retrouvées, pesées et choisies. Et puis de temps en temps une photo toute fraîche, sitôt prise sitôt postée, quitte à y revenir plus tard ou l'oublier.

lundi 15 février 2010

Soir d'été

Nice, juillet 2007

dimanche 14 février 2010

Passerelles (17)

mai 1993
de Las Vegas à San Francisco, avec Lagrange

novembre 2007
de Casablanca à Marrakech, avec Euler

Dans "La salle de bain", Jean-Philippe Toussaint écrit au paragraphe 33) : "Il y a deux manières de regarder tomber la pluie, chez soi, derrière une vitre. La première est de maintenir son regard fixé sur un point quelconque de l'espace et de voir la succession de pluie à l'endroit choisi ; cette manière, reposante pour l'esprit, ne donne aucune idée de la finalité du mouvement. La deuxième, qui exige de la vue davantage de souplesse, consiste à suivre des yeux la chute d'une seule goutte à la fois, depuis son intrusion dans le champ de vision jusqu'à la dispersion de son eau sur le sol. Ainsi est-il possible de se représenter que le mouvement, aussi fulgurant soit-il en apparence, tend essentiellement vers l'immobilité, et qu'en conséquence, aussi lent peut-il parfois sembler, entraîne continûment les corps vers la mort, qui est immobilité. Olé."
Ce qui, pour le physicien, marque toute la différence entre les descriptions eulérienne et lagrangienne, qui sont deux façons complémentaires de rendre compte d'une seule et même réalité. Olé.